mercredi 5 février 2014

Histoire en duo: Un souper bien chaud - Partie 5

Toute surprise, je me retrouve avec mes lèvres sur les tiennes.
Je me laisse aller au baiser, savourant ce chaud moment. Notre premier contact intime, notre premier échange de salive.
Je ferme les yeux, ne pensant à rien d'autre que ta langue dansant avec la mienne.
Notre baiser ne dure qu'une dizaine de secondes.
Je pose ma main droite sur ton épaule pour te repousser doucement.
Je te fais un grand sourire.
- On devrait peut-être en garder pour plus tard...
Je te fais un clin d’œil, j'ouvre la portière et je sors. Debout juste à l'extérieur, je redescends ma robe.

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Ouhaaaaaaaaa!

10 secondes de pure bonheur. C'est comme si j'avais fait un rêve. Un premier contact si parfait.

Je la vois sortir  et se rhabiller, je ne peux la quitter du regard. Elle se penche alors par la portière.

- Tu viens ?

Je reprend contact avec la réalité.

- oui oui

Je me détache et sort de la voiture. Avant de fermer la portière j'essaie de m’arranger pour que la bosse, encore plus grosse, dans mon pantalon se voit le moins possible.

Une fois prêt, je ferme la voiture et je la rejoins



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Nous marchons côte à côte vers le restaurant.
Je suis à ta droite.
J'ai ma main gauche sur ta hanche. Tu as ton bras droit autour de mon cou, la main sur mon épaule de droite.

Tu m'ouvres la porte. J'entre. Tu me suis.
Par chance, il n'y a pas trop de monde ce soir.
L'hôtesse nous aborde.
- Bonsoir. C'est pour 2?
- Oui, c'est bien ça. Dans un coin discret si possible s'il vous plait.
Elle nous regarde avec un sourire.
- Je vais voir ce que je peux faire.
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Alors que nous rentrons dans ce restaurant que je trouve très chic, je la vois demander un coin discret, ce que j’apprécie beaucoup.

Ce que j'aime chez cette femme c'est son cote entreprenant. De nombreuse femme aime se faire diriger uniquement alors que elle, semble savoir ce qu'elle veut et ou elle veut aller. Ce qui rajoute énormément a son charme.

L’hôtesse revient et nous invite a la suivre et nous propose une table dans un coin plutôt sombre. Je regarde autour, toutes les tables sont vides.

Alors que nous nous installons face a face, mon regard croise alors celui de Youki. Tout est alors dis dans nos regards auquel ils faut rajouter nos sourires coquins

1 commentaire:

  1. Comme t'as géré là pour le rendre affamé, le pauvre : qu'un baiser de 10 secondes ? Moi, j'aurais fait durer 1O ans !
    Z'êtes même pas encore z' assis que je sens que ça va être un pur moment : queue du chaud !

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