vendredi 4 avril 2014

Histoire en duo: Un souper bien chaud - Partie 30

Ma salle de bain est assez spacieuse, pour un appartement.
C'est un peu en désordre...
Près du lavabo, il y a quelques produits de beauté, un peu de maquillage. C'est un peu pêle-mêle à cause de mes préparations pour notre souper...
Au sol, il y a encore la serviette de bain rose que j'ai utilisée pour prendre ma douche avant notre rencontre.

(Cliquez sur "Plus d'infos" pour la suite)

Sur le bord du bain, il y a un assortiment de bouteilles, un rasoir et ceci:
 

J'allume quelques chandelles, que je garde toujours dans ma salle de bain, dans mes moments de relaxation.
Je me penche sur le bord du bain pour mettre le bouchon et partir l'eau chaude.
Tu as une belle vue sur mes fesses.
J'allume une petite radio, qui joue une musique sensuelle.
Je me tourne vers toi.
- À moi de m'occuper de toi.

Je termine de t'enlever ta chemise.
Tu t'apprêtes à me caresser l'épaule, mais je te retiens.
- Pas touche.
Tu retires ta main, avec un sourire.
Je laisse tomber ta chemise au sol.
Je m'agenouille devant toi.
Je t'enlève tes souliers et tes bas.
Tu m'aides en levant les pieds.
Je descends ton pantalon.
Tu m'aides encore, en levant les pieds.
Il ne reste plus que ton caleçon.
Je vois bien ta verge à travers le tissus moulant.
Je place mes mains sur tes hanches et tire vers le bas.
D'un coup, ta bite est libérée, bien droite, pointant le plafond.
Ton gland bien gros est très invitant! Mais je n'y touche pas.
Je me relève, je place mes mains sur tes épaules et je recule en t'emmenant avec moi.
Je te fais assoir, nu, sur le bol de toilette (fermé bien sûr).
Je me place devant toi.
Je me déhanche un peu, sur le rythme de la musique, avec le son de l'eau chaude qui coule. Il commence à faire chaud ici.
La lueur des chandelles reflète sur ma peau collante de confiture.
Les jeux d'ombres sur les courbes de mon corps te font saliver.
Ta main se place sur ta queue pour la caresser.
Je te donne sur claque sur la main.
- Pas touche!!
Tu enlèves ta main, en souriant.

Je place mon pied droit entre tes jambes.
Je frôle le bout de mon soulier sur ta bite.
Je détache le cordon du soulier, au haut de ma cuisse. Je tire et je libère mon pied.
Je laisse tomber le soulier au sol.
Je place mon pied gauche entre tes jambes.
Cette fois, je donne un coup sur ta bite, pour la faire rebondir. Tu sursautes un peu de plaisir.
Je détache aussi le cordon et enlève le soulier.
Je détache le porte-jarretelle.
Je place mon pied droit entre tes jambes.
Cette fois-ci, je glisse mon pied de long de ta verge. Je la pousse contre ton ventre.
Je vois tes mains se serrer, ayant de la difficulté à te retenir de toucher.
Je place mes mains au haut de ma cuisse et je descends mon bas collant.
Tu as une belle vue sur mon récolté.
Je place mon bas sur ton épaule.
J'enlève l'autre bas de la même façon et le place sur ton autre épaule.
Je me retourne dos à toi.
Je me recule pour avoir les fesses à seulement quelques centimètres de ton visage.

Je sens ton nez de placer dans ma craque de fesse.
Je m'avance rapidement.
- NON!
Je me retourne et lance une claque sur ta cuisse. Tu sursautes de douleur. La peau rougit faiblement.
- La prochaine fois, je ne serai pas aussi gentille...
Je me retourne encore, mais je garde mes distances.



Je tire sur le ruban en boucle, au bas de mon corset. Il se défait.


Je tire sur le cordon pour l'enlever au complet. Mon corset se détache.
Tu peux voir des marques rougies des anneaux dans la peau de mon dos.
Je passe le corset par en avant pour l'enlever.
Je suis complètement nue devant toi.
Je me cache les seins avec mes mains et je me retourne.
- Tu aimes ce que tu vois?

1 commentaire:

  1. Je crois bien qu'il aime ce qu'il voit!
    YoukiChérie, pour ce que je vois à l' image, moi je suis total in love § Ces souliers lacets, quelle merveille ! Et ce corset, tes bas sous pj;. Les boucles sur cette blondeur si unique, le cadre ! mes couleurs préférées.Tout!
    Si Greg a survécu, il doit encore être sur plusieurs couches de nuages roses!
    Mais pourquoi tu le claques aussi fort le pauvre?
    Il ne dit rien?

    RépondreSupprimer