Histoire en duo: Un souper bien chaud - Partie 34

- Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... oui! oui! vas-y!

Je sens entrer ton majeur dans mon petit trou. Comme c'est bon!

Je ne peux qu'accélérer mon mouvement de bassin.

Ta grosse queue entre et sort de ma chatte dans un rythme de plus en plus rapide.

L'eau éclabousse partout. Des vagues montent entre nos 2 corps à chaque vas et vient. On en reçoit jusqu'au visage. Ça sort du bain. Tant pis!

J'ai les doigts dans tes cheveux. Mes bras emprisonnent ta tête.

Mes ongles entrent un peu dans ton cure chevelu.

J'entends ta respiration de plus en plus rapide dans mon oreille.
Tu gémis, tu grognes, tu mordilles. Une douce musique à mon oreille.

Je te sens trembler. Je tremble aussi. Je veux jouir. Te sentir jouir en moi. Me faire crier à tue-tête. Me faire éclater les tympans de ton cri de jouissance.

- VAS-Y!!! OUI!!!! REMPLIS-MOI DE TON JUS!!!! PLUS VITE!!! PLUS FORT!!!!

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Nos corps sont prêts de l'explosion.

Mon majeur est complètement dans ton petit trou, enfonce au plus profond. Et bouge au mouvement de nos bassin.

L'eau vole dans tous les sens. Nous gémissons. Puis je te sent t'enfoncer au maximum sur ma bite.

Nos corps se séparent et se figent, dans un cri commun :

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH.

Alors que tu sentais ba bite au plus profond de toi tu sent le jet en sortir.

Nous restons ainsi quelques seconde, nous recherchons notre souffle le sourire aux lèvres. Je retire doucement mon doigt de ton anus.

- Doucement me murmure tu.

Tu souhaites profiter de cette sensation  d’être complètement rempli au maximum.

Une fois ma main libérer, tu te penches sur moi, la tête sur mon épaule, le souffle encore rapide.

La baignoire a perdu la moitie de son eau, il ne reste qu'une bougie d'allumer. Il fait toujours chaud, la musique continue de nous bercer.

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Lentement, je me libère de ta queue.

- Mmm

Je me retourne pour pouvoir m'étendre un peu sur toi, mon dos sur ton torse.

Je m'étire un peu pour rajouter de l'eau chaude dans le bain.

Je pose ma tête dans le creux de ton épaule. Je regarde vers le vide.

Machinalement, je caresse du bout des doigts ton bras à côté de moi. De l'autre main, je caresse juste un peu mes lèvres et mon clito.

- Ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas baisé aussi sauvagement. J'ai adoré.

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- Je dois t'avouer que c'est la première fois pour moi que c'est aussi sauvage. D’ailleurs j’espère que je ne t'ai pas fais mal ? Même si j'ai déjà attaché ou été attaché, jamais une femme m'a poussé à être aussi bestiale. Mais je te rassure j'ai adore.

Je réfléchis alors a ce que je viens de dire. Et je me rend compte que j'ai déjà été bestiale mais uniquement avec des hommes.

La caresse de tes doigts sur mon bras me donne quelques frissons mais me réchauffent.

- En tout cas ce matin, je n'aurai jamais imagine une soirée comme ça.