mercredi 2 mai 2012

Histoire 1: À la boutique - Partie 4


La jeune fille entre et commence à regarder les vêtements. Je n'ai pas trop de temps de la conseiller, car je dois faire ma routine de début de journée.
Je me surprends à pafois la fixer. Elle est jolie. Début vingtaine. Grande. Cheveux châtains. Elle jette parfois un coup d'oeil vers moi. Je baisse le regard. Je continue ce que je faisais.

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Malheureusement, elle part avant que j'aie le temps de terminer.
J'ai un dernier regarde sur elle. Elle me sourit et me dit:
- Bonne journée!
- Merci, toi aussi!
Pourquoi ai-je vraiment l'impression qu'elle m'a entendu jouir??



Je passe un long moment seule. Pas une cliente! Je fais quelques tâches, mais j'ai vite terminé. Faut dire que je ne travaille pas dans une boutique très populaire. On a peu à faire.
Il fait chaud. L'air climatisé n'a pas encore embarquer.
J'écoute la petite musique de la radio qui joue dans les haut-parleurs de le magasin. C'est plate. C'est long. Une mouche vole.



Vers 10:00, une jolie dame entre dans la boutique.
Elle a un look de femme d'affaire: cheveux noirs attachés en chigon, fine paire de lunettes noires, yeux bruns envoutants, lèvres pulpeuses et d'un rouge foncé. Je crois qu'elle est près de la quarantaine.

Elle porte un tailleur très décolté et une jupe bruns/gris, ainsi que des souliers à talons hauts. Je vois très bien le haut de ses seins trop gros pour être vrais, et une partie de son soutien-gorge en dentelle noire.
Elle arbore un beau collier de perles blanches.

Elle se dirige directement vers moi, d'un pas assuré.
Je suis là, derrière mon comptoire, trop subjuguée pour regarder ailleurs.

- Bonjour! Ça va bien?
- Bonjour. Comment t'appelle-tu?
- Moi? Youki.
- Youki. Apporte-moi une robe de soirée. Noire. Sexy.
- Oui, tout de suite madame.

Et elle se dirige vers les cabines d'essayage.
Je reste quelques secondes abasourdie. Qui? Que? Quoi?
Je sors de ma bulle et je vais voir ce qu'on a comme robes de soirée. On a une petite sélection. On ne vend pas souvent de ce style. Mais quelle grandeur voulait-elle? Zut! Je ne peux tout de même pas lui demander ça en lui criant de l'autre bout de la boutique! Et je ne veux pas la faire attendre non plus...
Je choisis 3 robes, en essayant de deviner sa taille. Faut pas que je me trompe!

- Tenez madame.

Elle prend la première robe que je lui tends et elle rentre dans la cabine.
Quelques minutes plus tard, elle ressort. Elle porte une longue robe noire en satin, très simple, à bretelles très fines.
Elle a détaché ses cheveux. Ils retombent sur ses épaules et un peu plus bas, en vagues.
Madame a aussi enlevé ses lunettes.

Wow.
Je reste bouche bée. Elle me regarde droit dans les yeux.
Cependant, la robe est trop petite. Vraiment trop petite! Je vois sa poitrine très écrasée sous le tissus.
- Non, ça ne va pas du tout!
Et elle rentre dans la cabine.
Ai-je vraiment vu ce que j'ai vu? Je suis tellement restée surprise de voir une si jolie femme ainsi.
Son regarde intense. Ses lèvres si invitantes. Sa chevelure! J'aurais tellement aimé passer mes doigts dans ses cheveux.

Je lui tends par-dessus la porte la deuxième robe.
- Vous pouvez essayer celle-là.
Un peu plus tard, elle sort avec une robe avec plus de détails. Elle est plus courte que la première: elle arrête juste au-dessus du genou. Elle est cintrée à la taille par une centure en cuir noir. La robe remonte en avant jusqu'à son cou et s'attache en arrière de sa tête.
- Ça vous va très bien madame.
- Ouin...
Elle se tourne et se retourne. Elle s'examine de face, de derrière. Elle a de belles fesses rebondies.
Elle glisse ses mains de chaque côté de sa taille.
- Non, ça ne va pas. Ma poitrine est trop cachée.
Et elle retourne dans la cabine.

- Je crois que vous allez beaucoup aimer celle-là.
Et je lui tends la troisième robe, ma préférée. Le genre de robe qui me fait rêver, mais qui dépasse mon budget. Tellement sexy! Même avoir l'argent.... je ne suis pas certaine que j'oserais la porter...
L'attente pour celle-là est insoutenable. J'ai vraiment hâte de la voir.

Elle ouvre finalement la porte.


Encore une fois, son regard intense est fixé dans le mien. Je l'examine de la tête aux pieds, sans en croire mes yeux.
Le robe s'attache dans son cou aussi, mais est extrêmement plongeante. Son décolté est à faire baver. Le tissus de la robe arrive à peine à soutenir et à cacher sa généreuse poitrine. Cependant, tout reste en place, attendant juste de se faire libérer de sa prison de satin noir. Je crois voir pointer ses mamelons à travers la robe.
Sa taille est bien ajustée. C'est exactement la bonne grandeur.
Ses hanches courbent à merveille.
La robe descend jusqu'à ses pieds, que je vois dépasser de la robe.

Elle se retourne.
- Attache-moi.
Avec ses mains, elle remonte ses cheveux. Je vois qu'elle n'a pas attaché la robe au niveau du cou, ni à la taille. La robe laisse son dos dénudé.
Je m'approche d'elle. Son parfum pénètre dans mes narines. Épicé. Délicat. Excitant.
Elle a tellement un beau derrière. Je vois le haut de sa craque de fesses. Elle porte un g-string de dentelle noire. Je la regarde disparaître en remontant la fermeture éclaire.
Puis, je pose mes doigts sur sa peau, dans son cou. C'est tout juste si je ne tremble pas d'excitation.
Je sens ses cheveux. Mmmmmm.... Une douce senteur d'agrume.
Je termine d'attacher sa robe et je me recule.

Elle est tellement belle. Tellement sexy. Tellement désirable, envoutante.

Madame fait quelques pas vers le miroir. Je retourne rapidement et regarde son reflet. Elle semble aimer son allure.
Elle fixe ses fesses, se les caresse.
Elle se retourne, face au miroir. Elle se mets les mains sous ses seins et les remontent. Elle les caresse rapidement.
- Je l'aime. Je la prends.
Et sans un mot de plus, elle retourne dans la cabine.
Elle me la passe par-dessus la porte. Je vais à la caisse et la lui mets dans une boîte et dans un sac.

Madame revient à la caisse quelques minutes plus tard. Elle a replacé ses cheveux en chignon et remit ses lunettes.

Elle fouille dans son sac à main et sort une liasse de billets. Elle me paye en argent comptant.
Elle sort une carte, style carte d'affaire, de son sac et me la tend.
- Appelle-moi... si tu l'oses.
La jolie femme prend son sac et sort de la boutique sans se retourner.
Je ne peux pas m'empêcher de l'observer jusqu'à ce qu'elle soit hors de vue.

Je baisse les yeux sur la carte. Elle est noire mate, avec une écriture rouge embossée.
Il est écrit:

Mistress Kassandra
555-555-5555

3 commentaires:

  1. qu'une seule chose à dire: "appelle, appelle, appeeeeelle!" :))

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  2. Dis YoukiJolie, tu en vends de belles choses dans ta boutiQue! Cette robe dos nu est superbe! Tes petits dessous viennent de là aussi? Assez migon, comme tu dois être désirable dans tout cela!!!
    ça te donne pas envie d'aller faire quelques essayages, Cléa?

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